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ADMINISTRATION DES MEDICAMENTS

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Article

BONNIN Sylvie, TENANT Martine

Accompagner l'infirmière dans une gestion optimale des thérapeutiques

juin 2015

Formation infirmière & cadre de santé
Spécial p.2S10-2S12

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MEDICAMENT ; INFIRMIERE ; PHARMACOLOGIE ; ERREUR ; ADMINISTRATION DES MEDICAMENTS ; GESTION DES RISQUES ; SECURITE SANITAIRE

Résumé : L'infirmière est en première ligne dans la mise en oeuvre et l'administration des thérapeutiques. En équipe et en intéraction avec le médecin prescripteur, elle surveille les effets et contribue ainsi à optimiser la sécurité des patients. Ces pratiques s'inscrivent dans une politique de gestion des risques insufflée par les établissements de santé.

Article Dossier

LANA Sandrine

Addiction aux opioïdes - Les professionnels se mobilisent

novembre 2019

INFIRMIERE LIBERALE MAGAZINE
n°363 p.26-30

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ANTALGIQUE ; ADDICTION ; ADMINISTRATION DES MEDICAMENTS ; CONSOMMATION ; PHARMACOVIGILANCE

Résumé : L' Amérique du Nors connaît une situation alarmante, voire catastrophique, concernant la dépendance d'une partie de sa population aux opioïdes médicamenteux : 200 000 morts depuis l'an 2000... En France, le constat est loin d'être aussi dramatique grâce à une surveillance accrue, mais l'augmentation des mésusages est bien réelle. Un état des lieux pour mieux réagir.
Résumé de l'auteur-éditeur.

Article

VASSEUR Roselyne

Administration de médicaments à la personne âgée et rôle infirmier

septembre-octobre 2014

SOINS GERONTOLOGIE
109 13-15

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ETABLISSEMENT D'HEBERGEMENT POUR PERSONNE AGEE DEPENDANTE - EHPAD ; PERSONNE AGEE ; INFIRMIERE ; ADMINISTRATION DES MEDICAMENTS ; HOPITAL

Résumé : L’administration du médicament en établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes n’est pas une activité anodine.
Cet acte fréquent, efficace mais à haut risque d’erreur, implique des précautions systématiques s’imposant à chacun, dont l’infirmière, maillon ultime de sécurité du circuit.
La collaboration des professionnels, partenaires de la chaîne médicamenteuse, est un gage de sécurité.
Disponible sur www.em-premium.com

Article

CLAIRE Gwenaëlle

Administration des médicaments et troubles cognitifs : de l'écrasement du consentement ?

août-septembre 2019

REVUE DE L'INFIRMIERE
n°253 p.41-43

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CONSENTEMENT AUX SOINS ; SITUATION DE SOINS ; ADMINISTRATION DES MEDICAMENTS ; ETHIQUE ; ETUDIANT EN SOINS INFIRMIERS - ESI ; ANALYSE DE LA PRATIQUE

Résumé : Dans le cadre de l'unité d'enseignement "Législation, éthique, déontologie";, un groupe d'étudiants en soins infirmiers s'est interrogé sur l'initiative, prise par une infirmière, d'écraser et de dissimuler des médicaments sans le consentement du patient, dans un contexte de troubles cognitifs. Cette situation a fait l'objet d'un travail collaboratif impliquant les étudiants et différents acteurs de l'institut de formation. [Résumé de l'auteur-éditeur]

Article

LE FLOCH-MEUNIER Béatrice

Administration des médicaments et événements indésirables

avril 2014

SOINS
784 48-51

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MALADIE IATROGENE ; SECURITE ; CHARTE ; ADMINISTRATION DES MEDICAMENTS ; GESTION DES RISQUES ; EVENEMENT INDESIRABLE

Résumé : La profession d'infirmière est particulièrement exposée au risque d'erreurs médicamenteuses car l'étape d'administration se situe en fin de processus et peut échapper aux barrières de protection prévues.
Cependant, beaucoup de ces événements sont évitables.Le CHU de Toulouse a choisi d'encourager leur déclaration pour lutter contre la iatrogénie médicamenteuse.
Disponible sur www.em-premium.com

Article

PERIGAULT Frédérique, et al.

Administration du médicament, prévenir les interruptions de tâches

mai 2016

REVUE DE L'INFIRMIERE
n°221 p.20-22

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INFIRMIERE ; MEDICAMENT ; ERREUR ; ADMINISTRATION DES MEDICAMENTS ; GESTION DES RISQUES

Résumé : Le circuit du médicament est un processus complexe et à haut risque d'erreur, d'autant plus si celui-ci est emayé d'interruptions. Les interruptions de tâches dans les soins sont une réelle problématique pouvant être à l'origine d'évènements indésirables graves (EIG). un cadre légal oblige les établissements de santé à la sécurisation de la prise en charge médicamenteuse. Cet objectif prioritaire se traduit par des études de risques, des outils d'auto-évaluation, des audits, des actions correctives, qui permettent une sensibilisation des professionnels aux risques associés aux médicaments. [Résumé de l'auteur-éditeur]
Disponible sur www.em-premium.com

Article

Administrations médicamenteuses 6/6

- Prévention des risques chez la personne âgée en fiche

novembre 2015

SOINS AIDES-SOIGNANTES
n°67 p.31-32

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MEDICAMENT ; ADMINISTRATION DES MEDICAMENTS ; PERSONNE AGEE ; SITUATION DE SOINS ; RISQUE

Résumé : Prendre en toute sécurité un médicament par voie orale nécessite d'être en capacité de savoir le reconnaître, d'ouvrir son conditionnement pour prélever le dosage adapté conforme à la prescription médicale, de pouvoir l'avaler au bon moment puis d'être en mesure de signaler l'amélioration attendue du symptôme traité ou la survenue d'effets indésirables. Dépendantes du degré d'autonomie physique et psychique de la personne âgée, ces différentes étapes requièrent une attention soignante ciblée pour prévenir les risques sous-jacents en mobilisant les ressources adaptées. Disponible sur www.em-premium.com

Article

BADIANE DEVERS Khady

Aide-soignante et distribution des médicaments : le salarié doit refuser d'exercer les tâches illégales

Juin 2014

DROIT DEONTOLOGIE ET SOIN
Vol 14 n°2 270-275

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AIDE-SOIGNANT ; ADMINISTRATION DES MEDICAMENTS ; ROLE PROPRE

Résumé : L'aide-soignante doit refuser la pratique d'actes infirmiers, et notamment tout ce qui excède l'aide à la prise de médicaments. Son refus qui n'est que l'application de la loi, ne peut être analysé comme un acte d'insubordination.

Article

DEVERS Gilles

Aides-soignants : toujours la distribution des médicaments...

juin 2013

DROIT DEONTOLOGIE ET SOIN
2 Vol.13 148-158

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LEGISLATION ; AIDE-SOIGNANT ; ADMINISTRATION DES MEDICAMENTS ; DROIT

Résumé : Les aides-soignants et autres personnels non IDE ont l’obligation de s’impliquer dans la distribution des médicaments, mais uniquement pour la phase d’aide à la prise, reconnue comme acte de la vie courante par le médecin traitant. Cela laisse entières les phases de préparation, d’administration et de surveillance. Disponible sur www.em-premium.com

Article

VALDEYRON Marie-Laure, et al.

Antibioprophylaxie et césarienne : analyse des modalités d'administration dans 30 maternités

juin 2018

HYGIENES
vol.XXVI, n°3 p.119-123

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CESARIENNE ; ADMINISTRATION DES MEDICAMENTS ; MATERNITE ; ENQUETE ; OBESITE ; ANTIBIOTIQUE ; INJECTION ; PROTOCOLE DE SOIN

Résumé : Si l’antibioprophylaxie est largement recommandée pour les césariennes, ses modalités d’administration ne sont pas complètement consensuelles.
Objectif : L’objectif de cette étude était de décrire les pratiques d’antibioprophylaxie dans un ensemble de maternités volontaires, avec un intérêt particulier pour la disponibilité d’un protocole, pour le moment de l’injection, et pour le doublement de la dose d’antibiotique lorsque l’indice de masse corporelle (IMC) est supérieur à 35 kg/m2.
Méthode : Le recueil d’informations a été réalisé en 2015, par questionnaires.
Résultats : Trente maternités et 282 anesthésistes ont participé à l’enquête. Les protocoles sont présents dans toutes ces maternités et 40 % d’entre eux mentionnent le doublement de la dose d’antibiotique si l’IMC de la patiente est > 35 kg/m2. La majorité des protocoles (93,3 %) préconisent l’injection de l’antibiotique après clampage du cordon, et la céfazoline est utilisée dans 29 maternités sur 30. Les anesthésistes déclarent réaliser l’injection après clampage du cordon pour 83,4 % d’entre eux, et plus rarement 15 à 60 min avant l’incision (10,5 %), ou à l’incision du site opératoire (7,9 %). Seule la moitié des anesthésistes déclarent doubler la dose si l’IMC de la patiente est > 35 kg/m2. Les résultats d’études publiées ne permettent pas de trancher sur le moment de l’antibioprophylaxie.
Conclusion : Cette étude a montré que deux ajustements de pratiques sont nécessaires dans les maternités y ayant participé : le doublement de la dose d’antibiotique si la patiente est obèse, et son injection 30 min avant incision ; ils nécessiteraient une nouvelle enquête pour s’assurer qu’ils sont pris en compte.
Résumé auteur-éditeur

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